User47por5

Cette application peut vous faire arrêter de fumer en 3 mois






© Matt Cardy

Tout le monde le sait, mais il est toujours bon de le rappeler : les chiffres du tabagisme sont alarmants, et les raisons d’arrêter sont légions. Selon les chiffres de Santé Publique France, un fumeur régulier sur deux meurt des conséquences de son tabagisme. 80 à 90% des cancers du poumon sont liés au tabagisme actif. La fumée de cigarette contient plus de 4000 substances chimiques, dont une cinquantaine cancérigène. S’ajoute à cela la question des prix. En 2018, même un fumeur “léger”, à raison de cinq cigarettes par jour, dépensait près de 1000 euros par an dans sa consommation de tabac. Ceci étant dit, si vous souhaitez faire partie du million et demi de personnes qui arrête de fumer chaque année en France, une application pourrait bien constituer votre issue de secours.

Comme on peut lire sur le site internet de Kwit, c’est en 2012 que le Strasbourgeois Geoffrey Kretz en a eu assez de la cigarette. Fumeur régulier et ne parvenant pas à arrêter, il a commencé à programmer une application qui l’accompagnerait au quotidien, pour le dissuader en permanence. Fort des retours positifs qu’il reçoit dans son entourage fumeur, à qui il a partagé l’appli “prototype”, il a alors décidé de s’engager à plein temps dans son idée. Assisté par Christophe Dehlinger et Jean-François Kraemer, ses associés, il a lancé officiellement en 2017 l’application Kwit. Avec l’aide de trois experts (deux psychologues et un professeur en médecine), Kwit vous accompagne dans vos efforts en dressant des statistiques de votre progression : nombre de cigarettes non fumées, nombre de jours de vie gagnés, argent économisé, nombre de paquets non fumés, etc… Vous pouvez rendre compte de vos émotions, de vos tentations, et ces comptes-rendus vous aident à cerner les situations et les causes qui vous poussent à fumer, afin de mieux les gérer ou les éviter. Et si vous êtes vraiment trop tenté, vous n’avez qu’à secouer votre téléphone pour que des messages et des conseils s’affichent sur votre écran, censés vous dissuader de céder à une rechute.

Le sevrage s’effectue par le biais de thérapies comportementales et cognitives, qui visent à désapprendre au fumeur son addiction, de renforcements positifs qui ciblent l’encouragement plutôt que la réprimande, et la mise en place de “mini-jeux” sous forme de challenges qui poussent le consommateur à franchir des paliers de façon ludique. Ainsi, Kwit a assuré que 77,6% de ses utilisateurs, soit plus des trois quarts, se sont considérés non-fumeurs trois mois après avoir téléchargé l’appli. Ces résultats ont même séduit des investisseurs, puisque les sociétés Kima, Angel Yeast, la Caisse d’Épargne, Bpifrance et BNP Paribas ont levé 1,3 millions d’euros pour l’application au mois de janvier 2021. Vous pouvez la télécharger sur iOS comme sur Android.

https://media.gqmagazine.fr/photos/5ff305dd3b7b5653fe5bb520/master/w_2000,h_500,c_limit/banniere_v2.gif

CIGARETTE – Composition d’une cigarette

Autrefois constituées uniquement de papier et de tabac, les cigarettes ont depuis les années 60 de plus en plus d’ajouts divers et variés.

Cigarette de composition

Au total plus de 4 000 substances chimiques inhalées par la fumée de cigarettes, dont plus de 60 classées cancérigènes par le Comité International de Recherche sur le Cancer. Même si vous utilisez une fume-ciagarette, le tabagisme vous expose à ces substances.

Des substances chimiques cancérigènes

Cigarette de composition

En voici quelques-unes à vous faire pâlir d’angoisse : de l’acétone qui est un dissolvant ; de l’acide cyanhydrique qui était employé autrefois dans les chambres à gaz ; du monoxyde de carbone qui sort des pots d’échappement de nos voitures, du ddt qui est un insecticide tout comme la nicotine ; de l’arsenic, un poison très puissant…

Quant à croire qu’une cigarette « non brûlée » contient moins de substances nocives, bien sûr… mais il existe quand même 2 500 produits chimiques, dont des pesticides et de nombreux additifs !

En savoir plus sur le tabac et la santé

Lisez aussi :

L’hypnose pour l’arrêt du tabac

J’ai consulté un hypnotiseur pour arrêter de fumer

Je dois tout d’abord vous dire que ce n’était pas la première fois que je prenais rendez-vous avec Cédric Nedellec, hypnothérapeute à Nice. J’étais venue le voir à plusieurs reprises pour améliorer ma confiance en moi et mon sommeil. Et, dès la première séance, je dormais déjà mieux ! Du coup, j’avais une plus belle peau et me sentais plus belle… mieux dans ma peau !

Nous avons ensuite travaillé sur la confiance que j’avais en moi. Ça a nécessité plus de séances mais l’ensemble des outils qu’il m’a donné pour gérer mes émotions et mes pensées, en plus des séances d’hypnose, ça complétement changé ma vie ! Depuis, je le recommande encore et encore autour de moi et c’est pour ça que je souhaitais partager mon expérience et donner mon avis sur ce thérapeute.

Arrêter de fumer avec l’hypnose

Je fumais 20 à 30 cigarettes par jours depuis mes 15 ans… Il faut dire que ça me revenait cher mais le pire, c’était ma santé qui se dégradait… Atteinte d’une maladie génétique, l’inflammation causée par la cigarette aggravait mon état… Mais ça c’était avant ! Et ça fera 2 ans en juillet que j’aurai arrêté de fumer !

Comment se sont passées les séances ?

La première séance d’hypnose pour arrêter de fumer a duré 3 heures durant laquelle Cédric, sur une présentation PowerPoint, m’a éclairé sur ce qu’était vraiment la cigarette, c’est-à-dire une dépendance psychologique, une habitude, plus qu’une dépendance physique. Il m’a expliqué que le but de cette séance était pour connaître ma singularité en tant que fumeuse et adapter les séances d’hypnose qui suivaient.

Après sa longue présentation (où j’ai quand même pu faire une pause pour en fumer une « consciemment », en prenant conscience de chaque bouffée), il m’a fait la séance d’hypnose. C’était carrément surprenant ! Ma partie responsable de mon tabagisme répondait à travers ma main ! je ne me souviens pas de tout loin de là… Mais ce dont je me rappelle, c’est d’avoir éprouvé un profond dégoût pour la cigarette dès que ce fût fini ! Et c’est ce que je voulais, en être dégoûtée !

Normalement son « protocole » se fait sur 2 séances mais il m’avait informé qu’une partie de ses clients arrêtait dès la première. Et c‘est ce qui s’est passé pour moi ! Et je ne peux donc pas savoir ce que nous aurions fait à la 2nde séance. Du coup, au lieu de payer 180 euros pour l’ensemble, je n’ai payé que 120 euros. Soit une dizaine de jours de cigarettes pour moi… Autant dire que l’affaire est plus que rentable !

Depuis mon arrêt…

Il m’est arrivée de repenser à la cigarette, et même d’avoir eu le réflexe d’en accepter une avant de la refuser. Je ne souhaite pas redevenir fumeuse… Vraiment pas ! Grâce à tous l’argent économisé, je pars plus souvent avec mes enfants en vacances, je me fais aussi plus de cadeaux ! Mais le plus beau cadeau que j’ai pu me faire, c’est celui d’avoir arrêté de fumer… Alors un grand merci à M. Nedellec sans qui je ne serais peut-être plus là aujourd’hui pour témoigner de la qualité de vie qu’il m’a offerte !

Le public rappelle les dangers du tabagisme

Afrique du Sud: le public rappelle les dangers du tabagisme

Alors que le monde entier commémorait la Journée mondiale sans tabac lundi, North West Health MEC Madoda Sambatha a rappelé au public les risques associés au tabagisme.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a désigné en 1987 le 31 mai comme Journée mondiale sans tabac. La journée vise à sensibiliser les gens aux maladies dangereuses qui peuvent être causées par le tabagisme.

Le thème de cette année était «S’engager à arrêter», qui revêt une importance significative à l’époque actuelle de la pandémie COVID-19.

«Alors que nous commémorons la Journée mondiale sans tabac, je voudrais profiter de cette occasion pour exhorter nos communautés à s’engager à arrêter de fumer, en particulier au milieu de la pandémie COVID-19.

“Comme les preuves scientifiques l’ont souligné, les fumeurs courent un risque plus élevé de développer de graves complications de santé lorsqu’ils contractent le coronavirus”, a déclaré Sambatha.

La journée, comme son nom l’indique, vise à sensibiliser le public aux effets néfastes du tabagisme.

Selon la Fondation pour un monde sans fumée, les fumeurs en Afrique du Sud fument environ 27 milliards de cigarettes par an, soit une moyenne de 3 771 cigarettes par fumeur par an.

Le département a déclaré que la commémoration avait eu lieu au moment où la province du Nord-Ouest connaissait une résurgence des infections au COVID-19.

Le gouvernement a exhorté les communautés à se prémunir contre la «fatigue pandémique» et à renforcer les mesures préventives pour échapper à une troisième vague grave d’infections, en particulier dans les districts du Dr Kenneth Kaunda et de Ngaka Modiri Molema.

«Toutes les mesures préventives doivent être utilisées pour lutter contre la pandémie de COVID-19, c’est pourquoi une décision d’arrêter de fumer est fortement recommandée pour réduire le nombre de cas de santé graves, ce qui pourrait entraîner un taux d’hospitalisation élevé et menacer le système de santé.

«Les communautés sont invitées à tenir compte de l’appel international à« S’engager à arrêter »aujourd’hui», a déclaré Sambatha. – SAnews.gov.za

Cette histoire a été publiée le: 2021-06-01. Pour contacter l’auteur, veuillez utiliser les coordonnées figurant dans l’article.

 

 

La FDA éduque le public sur les dangers du tabagisme

Albert Ankomah, directeur régional de la FDA, interagit avec les gens à la gare des camions Albert Ankomah, directeur régional de la FDA, interagit avec les gens à la gare des camions

La Food and Drugs Authority (FDA), lundi, s’est lancée dans l’éducation du public sur les effets nocifs de la cigarette et d’autres produits du tabac tels que la chicha dans le cadre d’activités pour marquer la Journée mondiale sans tabac (JMNT).

L’exercice, qui était sur une base interpersonnelle et l’utilisation d’un système de sonorisation, était en partenariat avec le Ghana Health Service, Narcotics Control Commission (NACOC) et la Ghana Road Safety Authority.

Interagissant avec les commerçants, les chauffeurs et les passagers du marché central de Wa et de la principale gare routière, M. Albert Ankomah, directeur régional de l’Upper West de la FDA, a déclaré que fumer du tabac était nocif pour la santé et le bien-être de l’individu.

Il a déclaré que fumer du tabac pouvait causer des maladies telles que l’hypertension, les maladies pulmonaires et cardiaques, les cancers et les fausses couches, entre autres, et a conseillé au public de s’en abstenir.

«Si vous fumez déjà, vous avez une chance d’arrêter de fumer, car si vous arrêtez de fumer, vous pouvez récupérer les dommages qui ont été causés», a-t-il déclaré.

Il a rappelé au grand public l’interdiction de fumer dans les lieux publics en disant: «Vous ne pouvez pas fumer au marché, dans les gares routières ou dans les bus car il y a une loi contre cela».

M. Sylvester Basagnia, le coordonnateur régional par intérim de la santé mentale, a déclaré que le tabagisme réduisait le système immunitaire des fumeurs et les rendait vulnérables aux maladies.

«La plupart des personnes qui souffrent de maladie mentale, si vous voulez choisir leur histoire, cela finira par avoir abusé de substances et d’ailleurs du tabac et d’autres produits connexes», a-t-il déclaré.

Il a encouragé les personnes désireuses d’arrêter de fumer à recourir à des mesures pharmacologiques et à des conseils, à se dissocier des «groupes de fumeurs», à se livrer à des activités susceptibles de détourner leur esprit du tabagisme et à consulter un médecin si nécessaire.

M. Musah Hamid, responsable de l’éducation au NACOC régional, a déclaré que les personnes qui fumaient du tabac pendant très longtemps avaient tendance à «passer à fumer des drogues dures comme le cannabis», d’où la nécessité pour le NACOC de rejoindre l’éducation contre le tabagisme.

«Il y a des enfants chez moi qui fument, je leur ai dit d’arrêter de fumer mais ils n’écoutent pas.

«Alors, j’enverrai les affiches sur les effets nocifs du tabagisme à coller dans la maison, s’ils le voient et n’arrêtent pas de fumer, c’est à eux et à Dieu», a déclaré M. Yussif Yakubu, un homme d’affaires du marché.

L’Organisation mondiale de la santé a institué la WNTD en 1987, qui doit être observée chaque année le 31 mai pour attirer l’attention du monde entier sur l’épidémie de tabagisme et les décès et maladies évitables qu’elle provoque.

La commémoration de cette année est sur le thème: «S’engager à cesser de fumer», pour souligner les bienfaits pour la santé de cesser de fumer ainsi que la façon d’arrêter de fumer.

12 dictons de motivation pour arrêter de fumer

La Journée mondiale sans tabac est célébrée chaque année le 31 mai pour inciter les gens à cesser de mâcher ou de fumer la substance.

Cette journée vise à attirer l’attention sur les effets néfastes du tabac sur la santé, qui peuvent provoquer des maladies cardiovasculaires, notamment des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux.

Alors que le monde lutte contre la pandémie de COVID-19, ceux qui sont des fumeurs habituels courent de grands risques. L’Organisation mondiale de la santé travaille sur une campagne pour soutenir les millions de fumeurs qui prennent activement des mesures pour sauver leur vie.

«Les fumeurs ont un risque jusqu’à 50% plus élevé de développer une maladie grave et de mourir du COVID-19, donc cesser de fumer est la meilleure chose que les fumeurs peuvent faire pour réduire leur risque de développer ce coronavirus, ainsi que le risque de développer des cancers, des maladies cardiaques et respiratoires maladies », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS. «Nous exhortons tous les pays à jouer leur rôle en se joignant à la campagne de l’OMS et en créant des environnements sans tabac qui donnent aux gens les informations, le soutien et les outils dont ils ont besoin pour cesser de fumer et cesser de fumer pour de bon.»

Selon l’OMS, environ 39% des hommes et 9% des femmes dans le monde consomment du tabac. Les taux de tabagisme les plus élevés se trouvent actuellement en Europe à 26%.

Voici quelques dictons de motivation de Brainy Quote, mettant en évidence les effets du tabac et les avantages de cesser de fumer aujourd’hui:

1. «Le vrai visage du tabagisme est la maladie, la mort et l’horreur – pas le glamour et la sophistication que les promoteurs de l’industrie du tabac essaient de dépeindre.» – David Byrne

2. «Le tabac est la seule industrie qui fabrique des produits qui réalisent d’énormes profits tout en nuisant à la santé et en tuant leurs consommateurs.» – Margaret Chan

3. «La culture consiste à déménager dans un endroit où le tabac et le tabagisme ne font pas partie de la vie normale: les gens ne le rencontrent pas normalement, ils ne le voient pas dans leurs grands supermarchés, ils ne voient pas les gens fumer dans les lieux publics, ils ne voient pas de distributeurs automatiques de tabac. » – Andrew Lansley

4. «J’ai choisi de faire savoir aux femmes, en particulier aux jeunes femmes, que le tabac n’est pas glamour – il crée une dépendance et le tabagisme nuit gravement à votre santé.» – Mena Suvari

5. «Les cigares, les cigarettes et le tabac à narguilé sont tous du tabac fumé – addictif et mortel. Nous avons besoin d’une action efficace pour protéger nos enfants contre une dépendance permanente à la nicotine. » – Tom Frieden

6. «La fumée de tabac contient des produits chimiques qui affaiblissent le système immunitaire du corps, le rendent plus vulnérable aux maladies et handicapent sa capacité à détruire les cellules cancéreuses.» – Michael Greger

7. “Chacun de nous devrait penser à l’avenir. Chaque bouffée de cigarette est une autre tique plus proche d’une bombe à retardement aux conséquences terribles. Christopher Hitchens ne se souciait pas des conséquences de la cigarette. Tragiquement, il est mort d’un cancer de la gorge en Décembre 2011. ” – Ray Comfort

8. “Le désir est le point de départ de toute réalisation, non pas un espoir, pas un souhait, mais un désir vif et palpitant, qui transcende tout.” – Napoléon Hill

9. “Il faut beaucoup de dévouement pour arrêter de fumer, et que vous abandonniez pour de bon lors de votre premier essai ou que vous deviez faire quelques essais – continuez simplement à vous lancer et vous réussirez.” – Harmon Killebrew

10. Reprenez votre vie aux compagnies de tabac. Ils ne vous possèdent plus. – Duane Alan Hahn

11. «Il ne fait aucun doute que le tabac crée une dépendance et que le tabac tue.» – Dick Durbin

12. «Les fabricants de tabac ont connu très tôt le caractère addictif de leur produit.» – Neil Cavuto

L'Organisation mondiale de la santé affirme que puisque le tabagisme altère la fonction pulmonaire, les fumeurs courent probablement un risque plus élevé de développer des cas graves de Covid-19 L’Organisation mondiale de la santé affirme que puisque le tabagisme altère la fonction pulmonaire, les fumeurs courent probablement un risque plus élevé de développer des cas graves de Covid-19 Photo: AFP / Khalil MAZRAAWI

Prévenez le cancer du poumon en arrêtant de fumer dès maintenant



gros plan d'un appareil: Journée mondiale sans tabac: prévenir le cancer du poumon en arrêtant de fumer dès maintenant


© Fourni par News18
Journée mondiale sans tabac: prévenir le cancer du poumon en arrêtant de fumer dès maintenant

Le tabagisme est considéré comme la cause la plus évitable de cancer et de décès par cancer. La fumée de tabac contient des produits chimiques cancérigènes connus sous le nom de cancérogènes et ces produits chimiques sont connus pour causer le cancer chez tout individu. Ainsi, chaque fois qu’une personne fume une cigarette, du beedi ou du tabac à mâcher, les produits chimiques pénètrent dans les poumons et se propagent souvent à d’autres parties du corps. Non seulement le cancer, mais l’exposition au tabac peut également entraîner une maladie respiratoire chronique. Par conséquent, la première étape pour une meilleure santé consiste à arrêter de fumer.

Cesser de fumer présente de nombreux avantages pour la santé, notamment une réduction du risque de cancer et contribue également à améliorer le pronostic des patients atteints de cancer. Bien que le cancer soit mortel, il peut être traité avec succès s’il est diagnostiqué à un stade précoce. L’une des principales raisons du cancer du poumon est la consommation de tabac. Il en est de même pour le cancer de la gorge. L’usage du tabac provoque non seulement le cancer du poumon, mais aussi des cancers de la bouche et de la gorge, de la boîte vocale, de l’œsophage, de l’estomac, des reins, du pancréas, de la vessie pour n’en citer que quelques-uns. Parmi ces cancers de la tête et du cou et du poumon, les cas sont les plus importants. Le cancer du poumon est le cancer le plus répandu et est une cause majeure de mortalité liée au cancer chez les hommes en Inde. Comparativement, les cancers sont plus fréquents chez les hommes et la principale cause trouvée parmi eux est le tabagisme.

Pour détecter un cancer à un stade précoce, il est essentiel de faire un contrôle régulier et de garder un œil sur les symptômes. Toux persistante, douleur thoracique, difficulté à respirer, présence de sang dans les crachats, perte de poids sont quelques-uns des symptômes observés chez les patients atteints d’un cancer du poumon. Le plus tôt détecté, le plus tôt peut être guéri.

Mieux vaut prévenir que guérir. L’arrêt du tabac est la principale mesure préventive que les gens devraient respecter. Cependant, fumer tue non seulement celui qui fume, mais aussi les gens autour d’eux qui inhalent cette fumée. Le tabagisme passif ou le tabagisme passif entraîne également un risque plus élevé de développer un cancer.

Outre l’arrêt complet du tabagisme, certaines des autres mesures préventives pour une meilleure santé pulmonaire consistent à mener une vie saine et à minimiser l’exposition à des polluants élevés. Parallèlement à cela, les exercices de respiration aideront également à améliorer la capacité pulmonaire et à garder les gens en bonne santé.

La Journée mondiale sans tabac est célébrée chaque année le 31 mai pour attirer l’attention sur les effets nocifs du tabac et encourager les gens à cesser de consommer du tabac sous quelque forme que ce soit; que ce soit en fumant des cigarettes / cigarettes électroniques, du beedi ou du tabac à chiquer. Une approche importante pour réduire le nombre de consommateurs de tabac en Inde consiste à renforcer et à mettre en place des programmes complets de lutte antitabac qui aideront à intensifier les efforts pour mettre en œuvre des stratégies de prévention du tabagisme, en particulier chez les jeunes et les jeunes adultes, et à encourager les fumeurs à cesser de fumer.

L’auteur de cet article médical est le Dr Suhas Aagre, oncologue médical principal, ACI Cumballa Hill Hospital, Mumbai

Lire tous les Dernières nouvelles, dernières nouvelles et Actualités du coronavirus ici

Découvrez cet article pour mieux vous informer sur la santé des poumons chez les fumeurs : Le combat des poumons du fumeur face au tabac : mythe ou réalité ?

Conseils de personnes qui ont arrêté de fumer

Des centaines de milliers de personnes arrêtent de fumer chaque année au Royaume-Uni. Ce n’est pas facile, mais de plus en plus de gens réussissent à arrêter.

Nous avons demandé aux personnes qui ont réussi à arrêter de fumer leurs trucs et conseils pour vous aider. Voici ce qu’ils ont recommandé.

Trouvez ce qui fonctionne pour vous

“Suivez un chemin qui vous soutient. Il n’y a pas de règles strictes et rapides. Ce qui fonctionne pour certaines personnes échoue à d’autres.”

Vous avez plus de chances de réussir avec le traitement et le soutien de votre service local gratuit pour arrêter de fumer., mais il existe de nombreuses façons d’arrêter. Continuez à essayer jusqu’à ce que vous trouviez la bonne méthode. 

«Avec une clinique [pour arrêter de fumer], vous avez la possibilité de vous asseoir et de parler à quelqu’un. Je pense que c’est la principale chose qui m’a aidé.» 

«Je pense que le vapotage aide parce que cela supprime toute envie de fumer, mais a également aidé à remplacer la routine qui était une grande partie de mes habitudes de tabagisme.»

«L’application NHS Stop smoking était un excellent outil car elle montrait un total cumulé de jours depuis l’arrêt du tabac et de l’argent économisé. Mais il contenait également des astuces, des astuces et des informations pour continuer à vous inspirer tout au long de votre parcours. »

«J’ai réalisé que je ne pourrais plus jamais toucher une autre cigarette ou que je reviendrais à la case départ. J’étais très accro à la nicotine.

Faites-le pour vos propres raisons personnelles

Qu’il s’agisse de protéger votre santé, d’économiser de l’argent ou de ne pas passer du temps avec les autres, les gens ont énuméré de nombreuses raisons d’arrêter de fumer. En plus de vous rappeler pourquoi vous voulez vous arrêter, pensez également aux avantages. 

“D’autres personnes qui m’ont dit d’arrêter n’ont pas aidé. Cela a aidé temporairement mais à long terme j’ai fini par y revenir parce que cela ne venait pas de moi et de ma propre réalisation.”

«J’ai recommencé à faire du vélo et j’ai vraiment adoré pouvoir le faire sans me sentir essoufflé.»

“De l’argent! J’ai tellement économisé sans dépenser d’argent en cigarettes.

«Cesser de fumer vous fera vous sentir en meilleure santé et plus autonome.»

Ne fais pas ça seul 

Les gens ont dit que partager leur expérience avec un professionnel, des amis ou une famille les avait aidés à arrêter de fumer pour de bon. 

«Je me sentais certainement très seul à essayer d’arrêter. Trouvez quelqu’un à qui parler. »

«J’ai fixé une date pour arrêter de fumer et j’en ai parlé aux gens afin que je doive m’y tenir et je l’ai fait. Leur soutien a été une aide considérable.

 

Exposer les enfants au tabagisme, c’est comme les étouffer – Expert en santé infantile

photo cigarette qui se consume

Les experts en santé publique avertissent que le tabagisme a non seulement des effets dévastateurs sur la santé, mais que son impact économique est énorme. 

Un spécialiste de premier plan de la santé infantile a décrit l’exposition des enfants à la fumée de cigarette secondaire et à d’autres dispositifs électroniques de distribution de nicotine, tels que les cigarettes électroniques et les vapoteurs, comme similaire à extirper la vie des enfants et à leur couper le souffle.

Le professeur Anthony Westwood, pédiatre à la retraite de l’hôpital pour enfants de la Croix-Rouge et conférencier au département de la santé des enfants et des adolescents de l’Université du Cap, a déclaré que le fait d’exposer des enfants à la nicotine leur refusait non seulement le choix de ne pas devenir dépendants, mais pourrait également avoir des conséquences dévastatrices pour leurs cerveaux en développement.

S’adressant à un groupe d’experts en santé publique lors d’un webinaire mardi, qui a discuté de la législation antitabac en Afrique du Sud avant la Journée mondiale sans tabac à la fin du mois de mai, Westwood a déclaré qu’une exposition précoce à la nicotine avait privé les enfants et les adolescents de leur avenir car ils devenaient souvent dépendants. et cela était «extrêmement difficile à inverser».

« Comment peut – on refuser sciemment aux jeunes un choix en mettant quelque chose dans leur cerveau quand leur cerveau aren ‘ t pleine maturité puis dire aujourd’hui , il était leur choix?

«La nicotine est l’une des substances les plus fortes qui créent une dépendance. Il est très addictif et toxique, et a des effets potentiellement permanents sur ces jeunes cerveaux affectant l’attention, l’apprentissage de l’humeur et le contrôle des impulsions.

En raison du manque de réglementation de certains dispositifs de distribution de tabac et de nicotine, Westwood a déclaré qu’il n’était pas difficile pour les jeunes en Afrique du Sud d’accéder à la nicotine. Il a dit que c’était l’une des raisons pour lesquelles le gouvernement devrait cesser de caler et adopter le nouveau projet de loi sur la lutte contre le tabagisme dès que possible.

Le projet de loi, qui interdit de fumer dans les espaces publics et les lieux de travail où il y a des enfants, y compris le projet de loi sur les systèmes de livraison électronique qui propose la réglementation des vapoteurs et des cigarettes électroniques, n’a pas encore été adopté, malgré la fermeture de la fenêtre de commentaires du public. il y a presque trois ans.

Westwood a déclaré que les effets néfastes de la nicotine sur les poumons des enfants avaient commencé bien avant la naissance des bébés de parents fumeurs et étaient parfois mortels.

«Les enfants et les jeunes se sont retrouvés dans les unités d’urgence à cause de ces énormes bouffées de nicotine, non seulement de manière émotionnelle, mais aussi physique et potentiellement mortelle. Un cerveau se développe et continue de se développer et n’est complètement mature qu’au début et au milieu de la vingtaine.

“Ceci est inacceptable. Nous devons nous assurer que ce genre de choses qui se produisent dans les poumons en croissance ne se produisent pas dans notre partie du monde. C’est ce que nous savons déjà des systèmes électroniques de distribution de nicotine. N’expérimentez pas sur les enfants de SA .

« Let ‘ arrêt de cela dans ses pistes. Nous ne facturons ‘ t veulent tromper les gens nos enfants de leur avenir à partir du moment avant leur naissance. Que ‘ s imaginer un avenir sans tabac et la nicotine. Qu’il n’y ait pas de vol, pas d’enlèvement de ces vies, pas de dégâts et de destruction, pas de déni de responsabilité en disant que nous ne savions pas, pas d’exploitation des jeunes et pas de mensonge et de vol du reste du pays.

Le Dr Yussuf Saloojee, directeur exécutif par intérim du Conseil national contre le tabagisme, a déclaré que si le gouvernement examinait sa propre histoire et voyait le déclin rapide lorsque de fortes lois anti-tabac ont été promulguées il y a environ 20 ans, projet de loi, nous réduirons rapidement le nombre de personnes qui meurent et tombent malades à cause du tabagisme ».

Alors que la SA avait l’habitude de prendre la tête de la lutte antitabac, elle a pris du retard au fil des ans, le tabagisme en public étant toujours autorisé, tandis que neuf autres pays africains étaient désormais totalement sans fumée.

«Nous étions déjà bien en avance sur le match, mais regardez où nous en sommes maintenant. Les Sud-Africains fument toujours dans les lieux publics. Si d’autres pays africains ont vu la sagesse de protéger les gens contre les dangers du tabagisme et de protéger les non-fumeurs, pourquoi ne pas l’arrêter ici? »

Saloojee a déclaré que le tabagisme provoquait des catastrophes sanitaires et que son impact économique était énorme.

«Les gens qui tombent malades ne peuvent pas aller travailler. Ceux qui meurent ne gagneront plus d’argent. Il y a aussi une perte de certitude. Bien sûr, le tabagisme est lié à la pauvreté, aux gens qui ne ‘ t gagner de l’ argent. Les gens qui ne peuvent pas travailler seront plus profondément dans la pauvreté. Ce sont les effets économiques de ce que fait le tabac.

«Beaucoup de gens diront, mais l’industrie du tabac paie des impôts. Eh bien, pour chaque rand de taxes collectées auprès de l’industrie, cela coûte au pays plus que R3. Ce « jeu de perdre sa. Le tabagisme ralentit l’économie.

«La Banque mondiale a déclaré que l’argent une fois dépensé pour les cigarettes serait plutôt dépensé pour d’autres biens et services, ce qui créerait de nouveaux emplois. La réalité est que si les Sud-Africains transféraient leurs dépenses d’achat de tabac, de cigarettes et de vapoteurs à d’autres biens et services, cela créerait plus d’emplois. Les cigarettes sont fabriquées par des machines. Ils ne sont pas à forte intensité de main-d’œuvre. Les non-fumeurs dépensent généralement plus pour l’éducation, la nourriture et les articles ménagers », a déclaré Saloojee.

Les avantages de l’abandon du tabac l’emportent sur la prise de poids associée à l’arrêt du tabac

Cesser de fumer était associé à un gain de https://www.golfsbeststores.com/ poids et d’IMC significatif, mais les avantages de cesser de fumer dépassaient de loin les risques de surpoids, selon les résultats d’une étude de cohorte.

Le sevrage tabagique est connu pour réduire le risque de maladies chroniques majeures, augmenter l’espérance de vie et améliorer la qualité de vie, a expliqué Berhe W. Sahle, PhD, MPH, de la Melbourne School of Population and Global Health à Carlton, Australie, et ses collègues dans Réseau JAMA ouvert . Cependant, arrêter de fumer s’accompagne souvent d’une augmentation du poids et d’un indice de masse corporelle (IMC) plus élevé, qui est lui-même un facteur de risque établi pour une foule de problèmes de santé et est souvent cité par les fumeurs comme une raison de ne pas cesser de fumer.

La question, expliquent les auteurs de l’étude, est de savoir si les risques pour la santé associés à la prise de poids et à l’augmentation de l’IMC après l’arrêt du tabac l’emportent sur les avantages protecteurs de l’arrêt du tabac. Pour évaluer ce risque, Sahle et ses collègues ont mené une étude longitudinale avec une cohorte de 16663 adultes australiens pour estimer le poids et le gain d’IMC après l’arrêt du tabac et son association avec le risque de maladie cardiovasculaire (MCV), de diabète de type 2, de cancer, de bronchopneumopathie chronique obstructive. (MPOC) et la mortalité à long terme.

«Dans cette cohorte d’un échantillon communautaire représentatif à l’échelle nationale, l’abandon du tabac était significativement associé aux gains de poids et d’IMC par rapport à la poursuite du tabagisme», ont-ils écrit. «Cependant, les adultes qui arrêtaient avaient un risque de décès significativement plus faible que ceux qui continuaient à fumer, quels que soient leur poids et leur gain d’IMC. Ni le gain de poids ni le gain d’IMC survenu après l’arrêt du tabac n’ont été associés à un risque accru de MCV, de diabète de type 2, de cancer et de MPOC. Les résultats confirment que les avantages de l’abandon du tabac l’emportent sur les risques en termes de réduction de la mortalité dans la population générale sans augmenter les risques des principales maladies chroniques.

Pour leur analyse, Sahle et ses collègues ont utilisé les données de l’enquête Household, Income, and Labour Dynamics in Australia (HILDA), une enquête annuelle par panel qui a débuté en 2001. La présente étude a examiné les vagues d’enquête de 2006 (vague 6) à 2014 (vague 13) «parce que des questions sur les maladies chroniques à long terme ont été introduites à la vague 3 [2003] et des mesures anthropométriques à la vague 6», ont-ils expliqué.

Cette analyse était limitée aux participants âgés de 18 ans et plus avec des valeurs non manquantes sur le tabagisme, le poids et l’IMC. La cohorte de l’étude finale comprenait 16 663 participants (8 082 hommes et 8 581 femmes; âge moyen [ET] de 43,7 [16,3] ans). Les participants qui avaient une maladie cardiovasculaire, un diabète de type 2, un cancer ou une MPOC avant la vague 3 ont été exclus des analyses afin de minimiser la probabilité que les gens aient arrêté de fumer à la suite de ces maladies.

À chaque vague de l’enquête HILDA, les participants ont indiqué s’ils étaient fumeurs, jamais fumeurs ou s’ils avaient arrêté de fumer au cours de l’année précédente. Ils ont également autodéclaré leur taille et leur poids, qui ont été utilisés pour calculer l’IMC de chaque participant. Au cours des vagues 3, 7, 9 et 13, on a demandé aux participants d’indiquer s’ils avaient reçu un diagnostic de MCV (p. Ex., Maladie cardiaque, maladies circulatoires), de MPOC, de diabète de type 2 ou de cancer.

Les régressions de risques proportionnels de Cox ont été utilisées pour déterminer les rapports de risque (HR) pour l’association entre les changements de poids et l’indice de masse corporelle (IMC) et le risque de maladies chroniques. Les principaux résultats de l’étude étaient la prise de poids après avoir cessé de fumer, les accidents cardiovasculaires, le diabète de type 2, le cancer, la MPOC et la mortalité toutes causes confondues.

Sahle et ses collègues ont constaté que ceux qui ont déclaré avoir arrêté de fumer avaient des augmentations de poids plus importantes (différence moyenne [DM], 3,14 kg; IC à 95%, 1,39-4,87) et IMC (DM, 0,82; IC à 95%, 0,21-1,44) par rapport à fumeurs continus.

Cependant, «Par rapport aux fumeurs continus, les HR pour le décès étaient de 0,50 (IC à 95%, 0,36-0,68) chez les fumeurs qui ont perdu du poids, 0,79 (IC à 95%, 0,51-0,98) chez les fumeurs sans changement de poids, 0,33 (IC 95% , 0,21-0,51) parmi ceux qui ont pris 0,1 à 5,0 kg, 0,24 (IC à 95%, 0,11-0,53) parmi ceux qui ont pris 5,1 à 10 kg et 0,36 (IC à 95%, 0,16-0,82) parmi ceux qui ont gagné plus de 10 kg. Le HR pour le décès était de 0,61 (IC à 95%, 0,45-0,83) parmi les personnes qui ont perdu leur IMC, 0,86 (IC à 95%, 0,51-1,44) parmi les personnes qui ont cessé de fumer sans changement de l’IMC, 0,32 (IC à 95%, 0,21-0,50) parmi les personnes qui ont cessé de fumer. qui ont gagné jusqu’à 2 en IMC et 0,26 (IC à 95%, 0,16 à 0,45) chez les personnes qui ont cessé de fumer qui ont gagné plus de 2 en IMC. »

De plus, la prise de poids et la modification de l’IMC n’ont pas augmenté de manière significative le risque de MCV, de diabète de type 2, de cancer et de MPOC chez les patients qui ont arrêté de fumer.

«Nos résultats suggèrent que les avantages à long terme de l’arrêt du tabac l’emportent considérablement sur les risques associés au poids ou au gain d’IMC après l’arrêt du tabac», ont noté les auteurs de l’étude, ajoutant que leurs résultats sont cohérents avec les études précédentes.

«Du point de vue clinique et de santé publique, nos résultats suggèrent que les interventions de santé publique visant à promouvoir le sevrage tabagique dans la population devraient souligner que les bienfaits pour la santé de l’arrêt dépassent de loin les effets néfastes sur la santé de la prise de poids», ont-ils conclu. «À la lumière de la variabilité considérable de la quantité de gain de poids en fonction de la durée de l’arrêt du tabac, les lignes directrices cliniques pour l’arrêt du tabac peuvent devoir inclure des recommandations concernant le moment et la durée des interventions de gestion du poids après l’arrêt du tabac.»

Les limites de l’étude citées par les auteurs comprenaient l’auto-déclaration du diagnostic par le médecin, le poids et l’IMC, et l’arrêt du tabac, ainsi qu’un suivi à relativement court terme et la possibilité de confusion résiduelle due aux facteurs de risque environnementaux et aux interventions pour l’arrêt du tabac et le poids contrôle que l’étude n’a pas pu expliquer.

  1. Bien que le sevrage tabagique soit significativement associé à des gains de poids et d’IMC par rapport à la poursuite du tabagisme, ceux qui arrêtaient avaient un risque de décès significativement plus faible.
  2. Le poids et le gain d’IMC associés à l’arrêt du tabac n’étaient pas significativement associés à un risque accru de maladie cardiovasculaire, de diabète de type 2, de cancer et de MPOC.